NAHEL.                   

Un an après la mort de Nahel, il a été important pour nous de revenir à Nanterre et d’échanger avec les habitants mais surtout avec Mounia Merzouk, la mère de Nahel, chez elle.

C’est du deuil impossible d’une mère qu’elle nous parle, d’un quotidien à jamais bouleversé, d’une rage face à l’impunité qui dure et qui dure et de l’importance pour la jeunesse de se mobiliser et de se battre contre ceux qui nous empêche de vivre.

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